Bienvenue!
Ecrire un poème
Vos Poemes
 Poème Abandon (77)
 Poème Acrostiches (29)
 Poème Amitié (144)
 Poème Amour (605)
 Poème Anglais (29)
 Poème Animal (80)
 Poème Anniversaire (48)
 Poème Bebe (46)
 Poème Coupable (82)
 Poème Dictons (31)
 Poème Divers (2412)
 Poème Drague (30)
 Poème Ecole (35)
 Poème en prose (84)
 Poème Enfant (108)
 Poème Enterrement (27)
 Poème Esprit (23)
 Poème Fête des grands-mères (24)
 Poème Fête des mères (62)
 Poème Fleurs (33)
 Poème Gothique (36)
 Poème Heureux (34)
 Poème Internet (70)
 Poème Interrogations ? (44)
 Poème Italien amoureux et amoureuse (51)
 Poème Jacques Prévert (68)
 Poème Japonais (32)
 Poème Maman (51)
 Poème Mariage (75)
 Poème Meilleur ami (86)
 Poème Mort (97)
 Poème Noel (66)
 Poème Nous (63)
 Poème Papa (79)
 Poème Pardon (75)
 Poème Parents (35)
 Poème Paul Eluard (75)
 Poème Racisme (27)
 Poème Religion (36)
 Poème Responsabilité (24)
 Poème Retraite (22)
 Poème Rêves (30)
 Poème Rires (81)
 Poème Romantique (48)
 Poème Rupture (44)
 Poème Saint Valentin (40)
 Poème Secret (24)
 Poème Skyblog (77)
 Poème SMS Amour (40)
 Poème Soeur (36)
 Poème Soleil (74)
 Poème Solitude (68)
 Poème Souffrance (99)
 Poème Toi (56)
 Poème Travail (42)
 Poème Triste (101)
 Poème Vengeance (69)
 Poème Vérité (41)
 Poème Verlaine (79)
 Poème Victor Hugo (68)
 Poème Vie (59)
 Poème Vieillesse (17)
 Poème Violence (31)
 Poème Voyage (29)

 Lettre amour (48)

Révisions sur l'abandon  Format imprimable  Format imprimable

Il y a le chat de tom hurlant dans la rue sa bouche bouche bée,
boucler soutient le son comme une femme dans
la chaleur,
elle baise la visage rincée tournée au froid le mur écaillé,
les feuilles de lit enfoncées dans sa joue.

Les cris de chat hors pour qui savent ce que,
les cris de femme encore
sa forme de corps change, tordre,
arme a jeté dehors du tas,
Il est si allé profondément ses jambes ont perdu
quoi que c'était que les a tenus s'oppose,
dans en tandem dans twain, au rhythme, ou dans le repos.

Les oreilles Déchirées ont déchiré brutalement contre sa tête,
le conte du Chat attache le montant de porte,
les marques de maquereau patinant son épine
les cheveux se tiennent dans la réponse
à quelque fantôme d'odeur.

Elle tourne et tend à travers le lit,
les sommes, pense,
comme il arrache son mamelon à un rythme non entendu,
sa fin de yeux lourds et le clignotement
Le chat continue un mauvais mewling tempéré
un pisser immodéré, sa maladie de carré une parade.
Sa présence payée plate une ombre acariâtre.





Rebecca Palmer

Les poèmes sont la propriété de leurs poètes.
Contact  -  Soumettre un poème  -  Accueil