Un masque enlevé Format imprimable
Un, deux et d’autres s’écoulèrent Tous semblables, sans que je sache leur avenir. Mon cœur, lui, reste toujours aussi triste S’enfermant dans sa propre haine.
La violence a pris la place de la parole, Le mal a pris peu à peu place à l’amour, Me laissant dans une terrible et profonde terreur Qui au fur et à mesure me tue.
J’ai perdu le sens de l’amour, des sentiments En espérant retrouver la petite flamme au plus profond de moi, Celle de ton amour et de ta tendresse infinie. Je veux encore y croire, juste une fois.
Le jour, masquée, la vie continue. Le soir, épuisée de ses efforts, J’ôte délicatement ce masque Pour y laisser apparaître une larme.
Tu as découvrit mon mystère, apeurée J’en perdis mes mots à en souffrir Mais grâce à la magie de l’écriture Je réussis à me délivrer, en te faisant pleuré.
Tu m’as ouvert une partie de ton cœur, Tu as eu peur que je te regrette, Pour rien au monde, je ne changerai cette demande Qui restera le plus beau jour de ma vie.
Mon cœur est à toi depuis toujours, Mes larmes t’ont blessé, elles changeront En sourires replies d’heureuses images Celle de rester pour la vie, auprès de toi.
Je t’aime
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