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Qu'un vulgaire pardon  Format imprimable  Format imprimable

Je suis seule ce soir
Sur ce chemin de desespoir
Plus personne dans ma loge
Loin de tous, je m’interroge

Dans ma poitrine, cette douleur
Qui m’étouffe, qui me fait peur
Tu as été blessée de mon coup de plume
Mais c’est moi qui en meurs, j’assume

Je paye aujourd’hui de mon propre sang
Cette lettre qui deviendra mon testament
J’avale ce poison comme un dernier toast
Mon cercueil acheté au prix d’un timbre poste

Je pensais réellement avoir exprimé la vérité
Mais ce n’était que le reflét de ma propre (sale) vanité
Dire que je suis désolée, je ne le sais que trop bien
Même si je le pense de tout mon coeur, n’y changera rien

Il est grand temps que je me taise avant de sucomber
Mes mots t’ont blessée et c’est moi qu’ils ont fini par tuer
Même maintenant au crépuscule de cette tranche de ma vie
Je garde l’espoir que le soleil luise à nouveau, quel ironie

Je me retourne sur ce passé, une dernière fois
Dans ce froid glacial, c’est ton sourire que je vois
Si Dieu me l’aurait permis, j’aurais remonté le temps
Pour que tout redevienne comme et même mieux qu’avant

C’est mon rêve, lors de trop rares nuits sans cauchemars
Tu es la seule qui puisse me sauver, mon dernier rempart
J’ai crucifié notre amitié et ma voix ne retient que ce son
Cette dernière plainte qui n’est qu’un vulgaire pardon...

...pardon





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