Bienvenue!
Ecrire un poème
Vos Poemes
 Poème Abandon (77)
 Poème Acrostiches (29)
 Poème Amitié (144)
 Poème Amour (605)
 Poème Anglais (29)
 Poème Animal (80)
 Poème Anniversaire (48)
 Poème Bebe (46)
 Poème Coupable (82)
 Poème Dictons (31)
 Poème Divers (2412)
 Poème Drague (30)
 Poème Ecole (35)
 Poème en prose (84)
 Poème Enfant (108)
 Poème Enterrement (27)
 Poème Esprit (23)
 Poème Fête des grands-mères (24)
 Poème Fête des mères (62)
 Poème Fleurs (33)
 Poème Gothique (36)
 Poème Heureux (34)
 Poème Internet (70)
 Poème Interrogations ? (44)
 Poème Italien amoureux et amoureuse (51)
 Poème Jacques Prévert (68)
 Poème Japonais (32)
 Poème Maman (51)
 Poème Mariage (75)
 Poème Meilleur ami (86)
 Poème Mort (97)
 Poème Noel (66)
 Poème Nous (63)
 Poème Papa (79)
 Poème Pardon (75)
 Poème Parents (35)
 Poème Paul Eluard (75)
 Poème Racisme (27)
 Poème Religion (36)
 Poème Responsabilité (24)
 Poème Retraite (22)
 Poème Rêves (30)
 Poème Rires (81)
 Poème Romantique (48)
 Poème Rupture (44)
 Poème Saint Valentin (40)
 Poème Secret (24)
 Poème Skyblog (77)
 Poème SMS Amour (40)
 Poème Soeur (36)
 Poème Soleil (74)
 Poème Solitude (68)
 Poème Souffrance (99)
 Poème Toi (56)
 Poème Travail (42)
 Poème Triste (101)
 Poème Vengeance (69)
 Poème Vérité (41)
 Poème Verlaine (79)
 Poème Victor Hugo (68)
 Poème Vie (59)
 Poème Vieillesse (17)
 Poème Violence (31)
 Poème Voyage (29)

 Lettre amour (48)

Ode à la mort  Format imprimable  Format imprimable

La mort retrousse ses babines,
Elle s’approche, elle vient mordre
Ta gorge, dont les veines fines
Sautillent de peur avec ordre.

Son souffle putride, glacée
S’enlise dans le creux de ton
Cou pur où tu sens s’enfoncer
Le désir et la tentation.

Ton sang coule pareil à une
Rivière criant qu’elle épanche
Son âme loin de la lune,
Inaccessible et pourtant blanche.

La mort t’embrasse ! O apaisantes
Lèvres, dont le baiser emporte
Par delà la voûte pesante
Eclairé par l’étoile morte.

Ciel constellé de mon amour
Défunt, de ma chair, de mon sang,
Mes yeux me laissent sans secours
Contre tes soleils aveuglants.

Si tu entends mes cris, ciel
Empli de torture et de rage,
J’attends l’ami aux doigts de miel.
Tu peux l’envoyer, je suis sage.
Oh ma mort





Les poèmes sont la propriété de leurs poètes.
Contact  -  Soumettre un poème  -  Accueil