Ecrin de sang, tombeau de larmes Format imprimable
Réfugiez au fin fond de l’enfer, je médite ma faute.le prix d’une nuit, le prix d’un rêve, le prix de ta vie. J’ai souvent tuer, avec la lame de mon ego affublé au nom de vengeance, mais je n’avais encore jamais tue la personne que je porte dans mon cœur.Déteste moi, du plus profond de ton âme, car c’est toi qui paye pour ma propre faiblesse. Hurle-moi ta haine, hurle-la moi, que je t’entende. Pour peu qu’on s’aime, on se quitte aussitôt, à peine on parle, q’on dit un mot de trop, à peine on s’enlace, que l’on se lasse dèja, à peine on décolle, qu’on tombe de haut. Noir, tout est noir, depuis que tu es partit.Depuis que de mes propres mains, je t’ai fait disparaître, privant le monde d’un éclat de lumière encore plus rayonnant que le soleil. Je voudrais pouvoir t’oublier, mais dès que mes yeux se ferment, c’est ton image, immuable et tranquille, ce sont tes yeux carmins pleins d’un défi que je n’ai jamais su comprendre qui me reviennent… Je t’ai tué, au prix d’un rêve, au prix d’une nuit, au prix de ta vie
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