Quand je vois les enfantes d'Afrique élevés sous le son des mitraillettes
sans fourchettes ni cuillères
prisonnier de la guerre sans eau sur la terre
ils ont le désert et non pas de desserts
priant dieu que s'arrêtent la guerre
pendant que les mères pleurent leurs enfants qui meurent dans la misère
victime du cancer
sans médecins ni infirmières
pour les aidés dans leur galère

Où sont les libérateurs retirant la haine de nos cœurs
asséchant nos douleurs, nos peurs, nos pleurs

C'est pas la richesse qui domine ni les cachets d'aspirine mais plutôt la famine

Les américains nous ont promis le droit chemin mais pour l'instant on ne vois rien

J'avais envie de raconter ce poème
pour les africains qui malheureusement se rétame