Poeme Amour

Étude Realiste



Les pieds d'un bébé, comme le rose de mer-coquilles,

Pourrait tenter, si le ciel voit le rassemblement,

Les lèvres d'un ange à embrasser, nous pensons,

Les pieds d'un bébé.

Comme se sont levées-hued les mer-fleurs vers la chaleur

elles s'étendent et écartent et clignent de l'oeil

Leurs dix bourgeons mous qui pièce et se réunissent.

Aucunes fleur-cloches qui augmentent et se rétrécissent

Bonbon à lueur à moitié tellement divinement

Comme l'éclat la vie untrodden le bord

Les pieds d'un bébé.

II.

Les mains d'un bébé, comme des boutons de rose furled

D'où pourtant aucune feuille augmente,

Ope si vous contact, vous fermez cependant upcurled,

Les mains d'un bébé.

Puis, jeûner comme les guerriers saisissent leurs marques

Quand le boulon de la bataille est lancé,

Ils se ferment, dur serré comme serrer des bandes.

Bouton de rose pourtant par aube pas impearled

Le match, même dans les plus belles terres,

Les fleurs les plus douces en tout monde –

Les mains d'un bébé.

III.

Un bébé observe, avant que la parole commencent,

Avant que les lèvres apprennent des mots ou des soupirs,

Bénir toutes les choses assez lumineuses pour gagner

Les yeux d'un bébé.

Aimer, alors que la chose douce rit et se trouve,

et dormir des écoulements dehors et dedans,

Voit parfait dans eux le paradis.

Leur regard pourrait mouler dehors font souffrir et péché,

Leur discours font sourd-muet le sage,

Par l'heureuse divinité muette sentie en dedans

Les yeux d'un bébé.





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